Cet article a été publié dans un premier temps par IEC le 8 octobre 2020 à côté d'une table ronde (lien, lien)
Le succès du Canada dans la transition vers un avenir sur le carbone dépendra de deux facteurs connexes : la mesure dans laquelle les gouvernements, les entreprises et les ménages adoptent les technologies propres et la mesure dans laquelle ces biens et services de technologies propres sont fournis par les entreprises canadiennes.
Partout au pays, les entrepreneurs technologiques s'efforcent d'apporter des solutions novatrices, de l'étape du laboratoire et du prototype à la réalité commerciale, tant au pays que sur les marchés d'exportation. Avec le soutien approprié, ces entreprises deviendrait des puissants économiques, générant des bons emplois et des recettes fiscales pour les décennies à venir au Canada.
L'emploi dans les secteurs de l'environnement et des technologies propres était de 317 085 emplois en 2018, en hausse de 30 % dans un peu plus d'une décennie, selon Statistique Canada. Des millions d'emplois supplémentaires ont été créés par les entreprises en démarrage de technologies propres qui se lancent tout juste dans les activités commerciales. En réponse à un sondage MaRS, 369 entreprises de capital-risque dans le secteur des technologies propres ont déclaré un emploi de 17 265 personnes, soit une moyenne de 47 personnes par entreprise.
La pandémie de COVID-19 et les enquêtes persistantes suscitée par la crise climatique progressive font de 2020, une période charnière pour le secteur des technologies propres. Les gouvernements du monde entier multiplient les mesures de relance pour économiser leur économie en difficulté et allouer des milliards de dollars à la transition sur le carbone.
The Canada est un des 72 pays qui se sont engagés à atteindre l'objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d'ici 2050. Cet effort nécessite un déploiement massif de nouvelles technologies pour réduire l'empreinte carbone des activités existantes et remplacer les anciennes industries par de nouvelles industries à faible émission de carbone.
The sector est également axé sur l'exportation, alors que le marché mondial des biens et services liés aux changements climatiques continue de se développer. Le marché mondial des technologies devrait atteindre 2,5 milliards de dollars américains d'ici 2022. Les exportations canadiennes de biens et services de technologies propres ont dégagé 7 milliards de dollars en 2018 et pourraient presque tripler pour atteindre 20 milliards de dollars d'ici 2025, selon un rapport publié en 2018 par un groupe consultatif gouvernemental.
Le secteur des technologies propres comprend les entreprises qui collaborent dans l'ensemble de l'économie, qui fournissent des biens et des services qui réduisent l'empreinte environnementale d'une activité actuelle ou qui supplantent un processus plus polluant par une solution de rechange plus propre. Is used the nanochemistry, the pointe manufacture, digital contrôles, intelligence artificielle et plus encore pour améliorer la productivité et réduire l'empreinte environnementale des systèmes énergétiques et industriels.
Nous avons déjà connu des succès remarquables au fur et à mesure que les jeunes entreprises canadiennes se lancent dans les ligues majeures. Il fournit des véhicules fonctionnant à l'hydrogène ; ils commercialisent des applications pour les réseaux électriques modernes et les véhicules électriques ; and ils commercialisent des technologies qui permettent aux entreprises de capter le dioxyde de carbone et de séquestrer ou de transformer des produits de valeur.
Nadis, the déploiement of this technology pourrait être très accéléré grâce à une politique plus favorable. De nombreuses entreprises de technologies propres comptent sur les nouveaux procédés ou installations à forte intensité de capital, mais qui créent de la valeur pour augmenter l'efficacité, réduire l'impact environnemental ou réduire la consommation d'énergie ou d'eau. Ces entreprises peuvent faire face à d'importants obstacles financiers pour trouver leurs premiers clients et faire connaître leurs innovations en rentabilité.
L'investissement en capital de risque, qui finance le développement de technologies propres à un stade précoce, a fortement augmenté, les investisseurs canadiens en capital-risque ayant alloué 407 millions de dollars à des entreprises en démarrage dans le domaine des technologies propres, comparativement à 133 millions de dollars il y a cinq ans. Mais ça est à son tour éclipsé par le capital de risque investi dans les entreprises de démarrage de l'information, des communications et des télécommunications, qui arrivent plus souvent plus volontiers sur le marché avec des coûts d'investissement moindres.
Les entreprises ont besoin de l'aide du gouvernement pour traverser ce que l'on appelle souvent la « vallée de la mort » — l'espace entre le développement de produits précommerciaux et les ventes commerciales.
Un thème commun sur la façon dont les entrepreneurs en technologies propres sont entendus, que les gouvernements pourraient stimuler les efforts de commercialisation par l'entremise de programmes d'approvisionnement. Une étude du Conseil de l'économie de l'innovation sur les entreprises de technologies propres à croissance rapide a divulgué que seulement 3 % de leurs revenus provenaient de l'approvisionnement.
The entreprises ont également besoin de partenaires in the industry in place for fournir des marchés à leur technologie, all in the guidant to lever les obstacles réels qui pourraient ne pas apparair dans les projets pilotes en laboratoire. Les carrefours technologiques peuvent également fournir des ressources importantes à ces entreprises en démarrage, notamment des analyses de marché, des liens avec des paires et des mentors de l'industrie et, dans certains cas, un soutien financier.